Les 25 et 26 juin le Foyer de l'Etang Carret déménage à Fontaine

lundi 24 septembre 2007

Jeudi 16 août , Après midi pâtisserie


Cet après midi là était dédié aux gourmands .
Il ne restait qu'à les surprendre .
Et c'est sur le blog d'Anne Papilles et Pupilles,que nous avons trouvé notre première recette.
Un gâteau aux carottes , aux raisins et aux noisettes .
Et puis nous avons choisit de réaliser le gâteau lyonnais aux pralines et aux fruits .




Les pâtissiers se mettent au travail et se répartissent les missions


Le gâteau aux carottes

4 carottes moyennes
3 oeufs
200 gr de farine
200 gr de sucre roux
125 gr de noisettes
100 gr de raisins secs
5 cuillères à soupe d'huile
1 cuillère à café de noix muscade
1 cuillère à café de cannelle
1 sachet de levure


Râpez les carottes . Dans un saladier, mélangez la farine et la levure , puis ajoutez le sucre et les oeufs . Ajoutez ensuite les carottes et le reste des ingrédients . Remuez bien et versez le mélange dans un moule à manqué beurré et fariné . Mettre au four à 200° pendant 30 minutes .


Recette du gâteau lyonnais

5 oeufs

250 gr de beurre
250 gr de sucre
350 gr de farine

1 sachet de sucre vanillé
1 sachet de levure
1 boîte d'abricots
1 boîte de poires
24 pralines
1 moule à manqué

Dans un saladier , mélangez le beurre et le sucre puis ajoutez
les oeufs un par un.
Dans un autre récipient , mélangez la farine , la levure et le sucre vanillé. Et incorporez petit à petit ce mélange au beurre et au sucre.
Farinez légèrement le moule à manqué beurré et versez un centimètre et demi de pâte. Disposez dessus les poires coupées en tranches .
Recouvrez d'une couche de pâte et garnissez avec les oreilles d'abricots .
Parsemez de pralines grossièrement écrasées et couvrez avec le reste de pâte .
mettez au four chaud 180° pendant 10 minutes , puis baissez le four à 160° pendant 15 minutes et enfin mettre le thermosthat à 140° pendant 30 minutes .
Arrêtez le four et laissez encore le gâteau une dizaine de minutes à l'intérieur.
Servez froid soupoudré de sucre glace.




IL a surpris , intrigué ....... et très vite des hum .....bon ...... se répandirent parmi les goûteurs ..... le gâteau aux carottes venait de faire un tabac !

samedi 22 septembre 2007

Mardi 14 août , Le Palais Idéal du Facteur Cheval




Il était une fois un homme plein d'imagination qui avec sa brouette et sa truelle mit 33 ans à bâtir son Palais .
En trébuchant sur un caillou , il eut l'idée folle de devenir le maçon de ses rêves .



Le notre (de rêve) fut de partir à sa découverte .....

Le Palais du Facteur Cheval en quelques détails

dimanche 16 septembre 2007

Lundi 13 août 2007 , Ballade à Lyon





Avec le soleil, la troisiéme semaine de vacances a commencé par un après midi à Lyon en quête d’histoire et d’anecdotes sur la ville.





Sur la rue piétonne de la République, nous avons trouvé la dalle rouge insérée dans la chaussée qui marque l’emplacement où fut assassiné le Président de la République Sadi Carnot, le 4 juin 1894. Il fut poignardé par l’anarchiste Casério.










Adossés aux grilles de l’Hôtel de ville fermé pour travaux, en face de l’Opéra, chacun est attentif à l’histoire des Muses que nous raconte Amélie.





L’opéra fut construit entre 1827 et 1831 à la place du théâtre de Soufflot jugé vétuste.
Mais qui sont ces femmes sur la façade de l’opéra ?Ce sont les Muses des Arts. Souvenez vous de vos cours d’histoire, ne vous avait on pas appris qu’elles étaient au nombre de 9 ?
Pour une question de symétrie Antoine Marie Chenavard et Jean Marie Pollet les architectes, ont évincé Uranie, la belle de l’astronomie et de l’astrologie.
Un petit jeu, connaissez vous le nom des 8 autres muses et quels arts elles représentent ?
Nous attendons vos réponses dans les commentaires.


A l’abri du tumulte de la ville, une pause fraîcheur dans le jardin du Palais Saint Pierre, au milieu des sculptures de Rodin, Carpeaux et Bourdelle.
Dès le 6 ème siècle, le Palais Saint Pierre fut un vénérable couvent.
En 1659, les Dames de Saint Pierre, des nonnes de haute noblesse très au fait des actualités artistiques de leur temps, firent restaurer leurs bâtiments à l’image d’un palais à l’italienne.
La Révolution chasse les moniales et le Palais Saint Pierre devient tour à tour un dépôt de linge, école des Beaux Arts, tribunal de commerce, Bourse, salle de concert, bibliothèque municipale, facultés . C’est finalement au début du 20 ème siècle qu’il devient le musée des Beaux Arts.

Nous poursuivons notre ballade jusqu’à l’église Saint Nizier. C’est l’un des plus beaux exemples du style gothique flamboyant.
Son implantation a commencé en 150 lors de l’arrivée des premiers chrétiens à Lyon avec Saint Pothin et Sainte Irénée.
En 177, 48 chrétiens furent martyrisés dont Sainte Blandine.
Les travaux de l’église actuelle commencèrent en 1305.








Et pour rejoindre la place Bellecour où les véhicules sont garés nous empruntons le passage de l’Argue, malgré le trottoir et la marche qui ne nous facilitent pas la vie.
C’est en 1825 à la demande d’un particulier que l’architecte lyonnais Vincent Farge perce un passage bordé de boutiques et surmonté d’une verrière. Nous croisons la sculpture de Mercure, dieu du commerce et des voyageurs.
Ainsi s’achève notre après midi.

mardi 11 septembre 2007

Vendredi 10 août 2007



Cela apparaissait comme une bonne idée que de s'éléver en attitude pour prendre un bol d'air . Mais décidement les cieux de ce mois d'août s'étaient résolus à nous souffler le chaud et le froid.

Rangées les petites tenues affriolantes d'été , il a fallut plonger dans les placards , retrouver pulls , anoraks et écharpes .

Nous avions réservé à l'auberge de la Jasserie dans le massif du Pilat et personne ne souhaitait renoncer au repas qui nous attendait .

Et pour rejoindre les 1405 m , les chauffeuses ont du fendre le brouillard , affronter la pluie . Mais au bout de la route , nous attendaient des menus bien choisis pour nous réchauffer.

Au hasard , pour vous mettre l'eau à la bouche , charcuterie de pays , pavé de boeuf et ses morilles à la crème , les quenelles et leurs champignons et la fameuse tarte aux myrtilles .

Alors à défaut de faire une ballade , nous sommes restés à table .

A noter que l'auberge de la Jasserie est accessible aux fauteuils roulants .

Entre chaud et froid à la Jasserie

La petite histoire de la Jasserie

La Jasserie est une vieille ferme isolée dans le massif du Pilat qui fut construite au 17 ème siècle par les Chartreux de Sainte Croix pour engranger le foin des hauts plateaux . Son nom serait tiré du patois « jasse » , un récipient traditionnel qui servait à recevoir le lait de la traite ou du celtique « jas » qui veut dire foyer ou du provençal « jasso » , bergerie , et ce terme désignait une petite habitation utilisée l’été pour la fabrication du fromage .
La Jasserie était aussi appelée « la Grange du Pilat ».
Au corps principal fut ajouté un bâtiment d’hospitalisation et une petite chapelle avec un clocher . « Marie Jeanne » , sa cloche sonnait pour guider les voyageurs égarés dans le brouillard .
Jean Jacques Rousseau a séjourné une nuit à la Jasserie pour herboriser .
Le Giers prend sa source à la Jasserie et se jette 45 klm plus bas dans le Rhône à Givors .
La Jasserie est aujourd'hui un refuge auberge tenu par la famille Masson .


vendredi 7 septembre 2007

Mercredi 8 août , Crèpes et Trivial Pursuit

Le soleil était radieux en ce mercredi après midi et les champions du Trivial Pursuit se sont rassemblés autour de la grande table devant le Pavillon 5 .


Un festival de crèpes se préparent pour le goûter ! Allez souris Amélie , elles seront réussies tes crèpes !

Les questions fusent ...


Les participants se concentrent entre deux réflexions et l'odeur des crèpes qui
vient chatouiller les narines ....








Et il faut parfois lire à deux la réponse pour la comprendre !











Pause crèpes , les gourmands rallient les joueurs . Et bien sûr, les crèpes au nuttela ont remporté un franc succès .










Et l'aprés midi se termine autour d'un verre de cidre ou de jus de fruit .
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