Avec le soleil, la troisiéme semaine de vacances a commencé par un après midi à Lyon en quête d’histoire et d’anecdotes sur la ville.
Adossés aux grilles de l’Hôtel de ville fermé pour travaux, en face de l’Opéra, chacun est attentif à l’histoire des Muses que nous raconte Amélie.
Mais qui sont ces femmes sur la façade de l’opéra ?Ce sont les Muses des Arts. Souvenez vous de vos cours d’histoire, ne vous avait on pas appris qu’elles étaient au nombre de 9 ?
Pour une question de symétrie Antoine Marie Chenavard et Jean Marie Pollet les architectes, ont évincé Uranie, la belle de l’astronomie et de l’astrologie.
Un petit jeu, connaissez vous le nom des 8 autres muses et quels arts elles représentent ?
Nous attendons vos réponses dans les commentaires.
Dès le 6 ème siècle, le Palais Saint Pierre fut un vénérable couvent.
En 1659, les Dames de Saint Pierre, des nonnes de haute noblesse très au fait des actualités artistiques de leur temps, firent restaurer leurs bâtiments à l’image d’un palais à l’italienne.
La Révolution chasse les moniales et le Palais Saint Pierre devient tour à tour un dépôt de linge, école des Beaux Arts, tribunal de commerce, Bourse, salle de concert, bibliothèque municipale, facultés . C’est finalement au début du 20 ème siècle qu’il devient le musée des Beaux Arts.
Son implantation a commencé en 150 lors de l’arrivée des premiers chrétiens à Lyon avec Saint Pothin et Sainte Irénée.
En 177, 48 chrétiens furent martyrisés dont Sainte Blandine.
Les travaux de l’église actuelle commencèrent en 1305.
Et pour rejoindre la place Bellecour où les véhicules sont garés nous empruntons le passage de l’Argue, malgré le trottoir et la marche qui ne nous facilitent pas la vie.
C’est en 1825 à la demande d’un particulier que l’architecte lyonnais Vincent Farge perce un passage bordé de boutiques et surmonté d’une verrière. Nous croisons la sculpture de Mercure, dieu du commerce et des voyageurs.
Ainsi s’achève notre après midi.
C’est en 1825 à la demande d’un particulier que l’architecte lyonnais Vincent Farge perce un passage bordé de boutiques et surmonté d’une verrière. Nous croisons la sculpture de Mercure, dieu du commerce et des voyageurs.